Massimo Nespolo

Candidat Debout la France

Présentation

Je suis né en Italie en 1964. Après un Master en chimie, j'ai travaillé deux ans comme consultant, avant de partir au Japon pour un doctorat en minéralogie, suivi d'un post-doctorat en science des matériaux.

En 2002 je suis arrivé à Nancy, où j'ai été embauché en qualité de professeur à la Faculté des Sciences et Technologie de l'Université Henri Poincaré Nancy 1, aujourd'hui Université de Lorraine, où j'exerce toujours ma profession.

urne électorale

Depuis mon arrivée en France, j'ai constaté un déclin constant et préoccupant de la cohésion sociale, de la situation économique pour une partie grandissante de la population, ainsi qu'une dégradation préoccupante du climat moral. Par nature plus porté à agir qu'à râler dans mon coin, j'ai ressenti la nécessité de m'engager pour contribuer à inverser la tendance au declin. Après avoir attentivement écouté les différentes personnalités politiques et analysé leurs programmes et prises de position, j'ai contacté Nicolas Dupont-Aignan, qui est pour moi le responsable politique le plus intègre et cohérent sur la scène politique française. Un exemple ? En 2007 il était pressenti comme Ministre, mais il a préféré quitter l'UMP (aujourd'hui LR) à cause de la trahison du résultat du référendum de 2005 sur la constitution européenne.

Mon choix a depuis été conforté à plusieurs reprises, en particulier pendant la récente crise sanitaire, quand, alors qu'une sorte d'hystérie collective s'est emparée de la quasi-totalité des élus, il a su garder le bon sens et s'opposer aux mesures liberticides insensées, peu importe si sur le moment cela a pu le rendre impopulaire, face au rouleau compresseur de la pensée unique. Il a également toujours su garder une position équilibrée et de bon sens sur tous les sujets : la nécessité de réguler le flux migratoire sans tomber dans le piège de la xénophobie, l'importance d'opérer pour la paix à travers la négociation, sans tomber dans le manichéisme selon lequel qui les gentils seraient tous d'un côté et les méchants tous de l'autre. Il a, en d'autres termes, mis ses convictions et la cohérence avant son intérêt personnnel. Je pense que c'est un choix rarissime dans le monde politique actuel.

Nicolas Dupont-Aignan m'a donné sa confiance au point de me nommer secrétaire départemental de Debout la France pour la Meurthe-et-Moselle et aujourd'hui il m'a confié la responsabilité de le représenter lors des élections législatives anticipées du 30 juin et 7 juillet 2024. C'est une très grande responsabilité, surtout pour un immigré et nouveau Français. C'est ainsi avec beaucoup d'humilité que j'ai accepté cette mission, non pour une quelconque ambition personnelle, mais car je pense que le temps est venu de montrer, à travers mon engagement, la gratitude que j’éprouve pour la France, le Pays qui m'ai accueilli il y a désormais plus de vingt ans, et donner ma contribution, petite soit-elle, à inverser la périlleuse tendance à s'enfoncer dans une spirale qui risque de l'emporter.

Mon programme

Extrême gauche, extrême droite, extrême centre…. sortons de ce piège ! Je propose l’extrême bon sens ! J’ai sélectionné les dossiers sur lesquels je compte m’engager particulièrement pendant mon mandat, et je vous présente le mesures envisagées, qui feront l’objet de propositions de loi que je déposerai à l'Assemblée Nationale.

Politique extérieure : redonner à la France son rôle de puissance diplomatique

Alors que son rôle diplomatique était jusque là incontestable, sous la présidence d’Emmanuel Macron la France s’est couchée sur les positions OTANiennes, perdant ainsi son influence internationale. Chassée de l’Afrique, alignée sur l’OTAN dans le conflit ukrainien, la France, ancien géant de la diplomatie, s’est transformée en un nain politique dont la voix est devenue inaudible. Le rôle qui était le nôtre a été repris par des puissances comme la Chine et la Turquie. Il est urgent et indispensable de revenir sur des positions non-alignées afin de peser à nouveau sur la balance entre un Occident de plus en plus en perdition et un nouveau monde, celui des BRICS, qui risque de nous dépasser et nous reléguer à un rôle secondaire.

Mesures envisagées :

Politique économique : lutte sans relâche contre toute fraude, réorientation des dépenses vers le pouvoir d’achat et le développement économique

La fraude à la sécurité sociale (plusieurs millions de cartes vitales avec droits actifs excédentaires par rapport à la population), la fraude fiscale, la fraude aux prestations sociales… tout cela nous coûte plusieurs dizaines de milliards par an ! La lutte à la fraude doit être un pilier pour rétablir des comptes publics plus sains. Cela permettra de redonner du pouvoir d’achat aux Français et de lutter efficacement contre le chômage, en réduisant les charges sociales, qui plombent le compte des TPE et PME.

Mesures envisagées :

Lutte contre la corruption

En qualité de membre de l'association Anticor, je m'engage a respecter et promouvoir les mesures prévues dans le plaidoyer, en particulier les douze points ci-dessous

Politique locale : revenir sur la reforme Hollande des régions

Sous le quinquennat de François Hollande, les régions Champagne-Ardenne, Lorraine et Alsace ont fusionné dans une entité artificielle, nommée Grand Est. Cette réforme a été mise en place en prévision de réaliser des économies : en réalité, elle a généré des surcoûts importants. Nous avons donc été contraints d’abandonner une identité régionale forte et au lieu d’en tirer les bénéfices ont a payé le prix d’une réforme qui n’avait pas lieu d’être !

Mesures envisagées :

Politique locale : dynamiser notre bassin via une politique ambitieuse des transports

Le développement économique local nécessite des transports efficaces. Or, la connexion Nancy – Paris a perdu l’avantage OuiGo, qui permettait des connexions à prix abordable. Par ailleurs, la ligne LGV qui passe par la gare Lorraine est mal desservie : fréquences insuffisantes, ICE qui passent sans s’arrêter, connexion avec Nancy par navette routière ; ce n’est pas étonnant que cette gare au milieu de nulle part souffre d’une mauvaise réputation et soit sous-exploitée.

Mesures envisagées :

Le RIC, instrument indispensable d’un nouvel élan démocratique

Le principe de la République française, défini dans l’article 2 de la constitution du 4 octobre 1958, est : « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ». Force est de constater que ce principe n’est plus d’actualité, avec un gouvernement qui agit à coup de 49-3, avec la complicité d’un Conseil Constitutionnel qui montre vouloir protéger davantage des intérêts politiques que le respect de la constitution. Le résultat du dernier référendum organisé en France, celui de 2005 sur la constitution européenne, a été ignoré et le gouvernement est passé en force pour ratifier une décision qui avait été rejetée par le peuple.

Mesures envisagées :

Les retraites : une approche à changer de fond en comble

L'âge de la retraite : 60 ? 62 ? 64 ? Qui dit mieux ? Moi, je dis que la question est mal posée. Pourquoi vouloir imposer une âge égale pour tout le monde, qui ressemble à un lit de Procuste, alors que ce qui compte est la durée de cotisation ? Les personnes qui ont fait des longues études doivent partir plus tard s'ilS veulent une retraite à taux plein. En revanche, les personnes qui ont sont rentrées dans le monde du travail tôt, atteignent 43 ans de cotisation parfois à l'âge de 60 ans, si ce n'est pas avant. Pourquo les obliger à travailler encore davantage, s'ils ne le souhaitent pas ?

Mesure envisagée :

Arrêter la transition énergétique et relancer l’industrie nucléaire

La clé de la prospérité et du développement économique est une énergie à bon marché. Pour des raisons idéologiques qui n’ont aucun fondement scientifique, notre atout principal, l’industrie nucléaire, a risqué d’être démantelé au profit d’énergies intermittentes et faussement « écologiques » (la pollution directe et indirecte liée aux éoliennes est une véritable catastrophe écologique!). Aucune des prévisions alarmistes annoncées par les faux écolos dans les décennies passées – souvent à l’opposé de celles qu’ils propagent aujourd’hui ! - ne s’est réalisée. Leurs prévisions sur le réchauffement climatique ne se réaliseront non plus, car basées une fois de plus sur des modèles irréalistes, où la relation cause-effet est souvent tout simplement inversée

Ces dérives idéologiques se traduisent en des contraintes catastrophiques pour le citoyen. L'extension des ZFE (Zones à Faible Émission, ou plutôt Zones à Forte Exclusion ?), avec l'obligation déployée graduellement d'exposer une vignette Crit'Air sur le pare-brise de sa voiture, et l'exclusion du marché locatif des biens immobiliers dont le DPU devient de plus en plus contraignant (G, puis F, puis E....) en sont deux exemples flagrants. Les Français qui ne peuvent pas changer de voiture pour suivre la mode « écologique » risquent de perdre leur travail, ou devoir se reconvertir dans une profession qui ne requiert plus un transport quotidien (comme si cela était facile !). Les petits propriétaires n'ont pas les moyens de réaliser de travaux, souvent très coûteux, pour faire modifier le DPE de leur logement : ils seront empêchés de le louer, tout en devant continuer de payer la taxe foncière, qui ne cesse d'augmenter. À terme, ils risquent de devoir brader leur petit bien, étranglés par les impôts, non compensées par un loyer plus perçu.

Mesures envisagées :

Refonder une politique de santé au service de l’humain, pas de BigPharma

La récente pandémie Covid-19 nous a montré à quel point des considérations de nature médicale peuvent être détournées afin d’imposer des mesures de restriction des libertés totalement injustifiées, mais également la collusion entre le milieu médical et l’industrie pharmaceutique : il suffit de citer l’achat par SMS de milliards de doses de vaccin de la part de la présidente de la commission européenne, SMS auxquels nous avons toujours pas accès, malgré les dizaines de milliards d’euros que cela nous a coûté ! La suspension des soignants que l’on applaudissait aux fenêtres quelques mois auparavant a été l’épisode probablement le plus honteux de l’histoire récente de France. Pour que de telles dérives ne puissent plus jamais être mises en place, je propose les mesures suivantes :

Pour une alimentation saine et respectueuse de l’environnement

« Que ton alimentation soit ta meilleure médecine ! » disait Hippocrate. La malbouffe (aliments industriels à faible pouvoir nourrissant et riches en sel, sucre, gras) est responsable d’une véritable épidémie d’obésité, diabète, maladies cardiovasculaires, cancers…. avec un coût social et économique qui ne pourrait être sous-estimé. Mais comment lutter quand un produit industriel coûte au consommateur moins que des légumes et des fruits frais ?

Mesures envisagées :

Refonder l’éducation nationale

La France ne cesse de dégringoler dans les classements internationaux de la qualité de l’enseignement. Les savoirs fondamentaux échappent à une partie grandissante de notre jeunesse, ce qui se traduit en une fracture sociale de plus en plus importante, alors que l’école est censée mener tout le monde vers les mêmes possibilités.

La récente reforme du « choc des savoirs », avec l’introduction de « groupes de besoins » au collège, correspond à un tri des élèves : l’appartenance à un groupe de niveau dès le collège sera stigmatisant, voire discriminant. Un tiers de la semaine, les enfants seront répartis dans des groupes « de besoin », et non dans leur classe. La perte de la classe à l’arrivée des élèves au collège va leur nuire, rendant plus difficile le suivi. Veut-on une société dont les enfants seraient en concurrence entre eux dès le plus jeune âge, comme dans certains pays d’Asie ? L’école doit apprendre aux enfants aussi à vivre ensemble, se respecter, s’entraider ! Cette réforme porte également préjudice au travail d’équipe et au sens même de l’« équipe éducative ». La classe, c’est un repère pour les élèves, et les repères à l’entrée au collège sont essentiels. Cette réforme va également mettre encore davantage de pression sur le corps enseignant, qui doit déjà faire face à un nombre d’élèves parmi les plus élevés en Europe.

En parallèle, des dérives idéologiques gangrènent de plus en plus l’école : non seulement à travers des manuels « labellisés » qui font la promotion de la pensée unique, avec une progression quotidienne obligatoire à suivre niant la liberté pédagogique des enseignants et rendant de facto impossible d’adapter le rythme d’apprentissage aux élèves, mais aussi avec l’intervention d’ONG et lobbies qui n’ont aucune compétence éducative et qui répandent leurs idéologies immigrationnistes, wokistes, racialistes, prônant le communautarisme et minant les fondations mêmes de la cohésion sociale. Nous avons quasiment atteint le point de non-retour : il est urgent d’inverser la tendance !

Mesures envisagées :

Renforcer la recherche et l’enseignement supérieur

La mission des enseignants-chercheurs c’est de transmettre le savoir aux prochaines générations et faire avances la connaissance par leur activité de recherche. Mais aujourd’hui ils sont obligés de passer une bonne partie de leur temps dans des tâches administratives et à écrire de projets de recherche sur des thèmes imposés par le gouvernement (bonjour la liberté académique!) qui ont peu de chances d’aboutir.

Mesures envisagées :

Arrêter les dérives wokistes et la cancel culture

Alors qu’aux États-Unis la folie wokiste est en train de perdre son élan, en France on nage en plein délire ! Dire qu’un homme n’est pas une femme et vice versa est désormais considéré discriminatoire et parfois passible de sanctions ! L’idéologie est sur le point de remplacer la biologie ! On assiste à une explosion de « transitions de genre » chez les adolescents, à un âge où la prise d’hormones bloqueurs de puberté va entraîner des séquelles graves sur la santé des jeunes tombés dans le piège wokiste. Le malaise de l’adolescence n’est plus abordé avec le dialogue et la psychologie, mais avec la chimie, quand ce n’est pas la chirurgie. Arrêtons ce délire avant qu’une partie d’une génération ne soit transformée en animal de laboratoire !

Mesures envisagées :

Refonder le financement public des médias

La quasi-totalité des médias – presse, audiovisuel – vit grâce au financement public (« aide à la presse »), qui, en 2021, s’élevait à 367 millions d’euros. Cet aide représente 0,45 % du montant total de l’impôt sur le revenu perçu par l’État (82,1 milliards d’euros après réduction et crédit d’impôt : données de 2022. On pourrait s’attendre à que la pluralité des opinions soit correctement reflétée dans ces médias. En réalité, avec quelques rares exceptions, les médias reflètent essentiellement les positions du gouvernement et de la gauche et censurent ou presque toute opinion divergente. Cette ligne éditoriale est inadmissible lorsque les médias vivent grâce au financement public. L’ARCOM (Autorité de Régulation de la Communication audiovisuelle et numérique) s’est montrée complètement négligente, alors qu’elle est censée assurer le respect de la pluralité. L’aide à la presse utilise les impôts du citoyen, lequel n’a pas son mot à dire sur leur ligne éditoriale. Cela doit changer.

Mesures envisagées :

Le bien être animal, un combat civilisationnel

« On reconnaît le degré de civilisation d’un peuple à la manière dont il traite ses animaux » disait Gandhi. Notre Pays semble souffrir d’une forme de schizophrénie, quand on constate le décalage extraordinaire entre l’attention prêtée aux animaux de compagnie et les conditions de vie et de mis à mort des animaux d’élevage.

Mesures envisagées :

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